vendredi 28 mars 2014

Film : Cherche Zone Blanche Désespérément

En présence du réalisateur Marc Khanne du film « cherche zone blanche désespérément »
Le vendredi 4 Avril au Cinéma de Céret 20h30
Entrée : 2 €

VTV s'associe à l’association départementale Robin des toits pour organiser une projection-débat autour des risques liés aux ondes et aux alternatives proposées...

Voici un sujet émergeant et encore mal connu.

Qui sont ces personnes électro-hypersensibles dont les médias parlent de temps à autre ?
Alerté sur ces questions par une amie qui était devenue elle-même électrosensible, le réalisateur de ce film a mené l’enquête pendant plus de deux ans et rencontré un peu partout en France mais aussi à l’étranger une soixantaine d’« EHS » c’est-à-dire de personnes devenues électro-hypersensibles aux champs électromagnétiques.

Pour les électro-hypersensibles, en tout cas, il y a urgence !

Première constatation : de plus en plus de personnes sont confrontées à toutes sortes de symptômes quand elles sont en présence de téléphones portables, de systèmes de communication sans fil (antennes, wifi, etc.), ou même du courant domestique.

Pour se protéger, elles doivent se calfeutrer, déménager ou pire encore quitter leur famille et arrêter de travailler.

Il y a vingt ans ce phénomène n’existait pas, aujourd’hui il est mondial.

Ce que l’enquête va montrer également c’est que les graves symptômes décrits par les EHS ressemblent curieusement à ceux du « syndrome des micro-ondes » rencontrés chez les professionnels du radar. Or, les technologies sont voisines, et les effets délétères déjà documentés depuis 50 ans !

Témoignage après témoignage, une réalité troublante est dévoilée : pour des raisons encore mal élucidées, des femmes, des hommes, mais aussi des enfants deviennent intolérants aux champs électromagnétiques artificiels diffusés aujourd’hui massivement dans notre environnement.
Pouvons-nous tous être touchés à des degrés divers ?

Y’a-t-il d’autres effets à moyen ou à long term ?

jeudi 20 mars 2014

Film : La Face Bio de la République, 25 Mars, 20h30

AGRICULTURE BIOLOGIQUE - À voir : La face bio de la République, documentaire de Thierry Derocles, qui a filmé pendant 62 minutes les agriculteurs, les transformateurs, les distributeurs mais aussi des élus et des consommateurs afin de nous éclairer par leurs vécus sur les enjeux liés à la filière biologique.


Mardi 25 Mars à 20h30,
Salle des Fêtes, Saint-Jean-Pla-de-Corps

Le postulat : S’estimant à 54% « bien informés » sur la Bio, les Français en ont une image très positive. 86% d’entre eux estiment que la Bio contribue à préserver l’environnement, la qualité des sols et les ressources en eau.

Dans la pratique, les Français sont de plus en plus nombreux à souhaiter manger bio. Les parents notamment sont très demandeurs : 75% d’entre-deux voudraient que leurs enfants bénéficient de produits bio à l’école et les actifs sont 59% à en souhaiter dans le cadre professionnel.

Ainsi, alors que le modèle bio représente une alternative culturelle, sociale, écologique, économique au modèle agro-industriel conventionnel, les surfaces en mode de production biologique couvrent à peine 4 % de la surface agricole utile. Ce film, qui part à la rencontre des divers métiers qui fondent ou accompagnent « la bio », se penche sur cette apparente contradiction : des pratiques qui marchent, contribuent à dépolluer mais qui pourtant restent confinées à des niches, tardent à élargir le cercle des bio-pratiquants. Une pluralité d’acteurs - agriculteurs, transformateurs, distributeurs, mais aussi élus et consommateurs - éclaire par leurs vécus les enjeux liés à cette filière.


lundi 10 mars 2014

Semaine pour les alternatives aux pesticides

Du 20 au 30 Mars 2014
www.cap66.net/semaine-des-alternatives-2014/
Des tas de sujets et acteurs locaux intéressants à rencontrer ! 

Pesticides en ville – une mauvaise solution !
Bientôt commence la « Semaine pour les Alternatives aux Pesticides ». Pourtant, en ce moment on peut toujours voir de pauvres Messieurs avec leur bidons de désherbant sur le dos, pulvérisateur à la main, très souvent sans masque et pratiquement aucune autre protection, faire ce que certains appellent « nettoyer ». Oui, dans nos petits villages nous avons adopté un langage orwellien – ou nettoyer veut dire tuer et propre veut dire inhabitable pour la vie. Espérons donc que les villes ne deviennent pas trop propres !
Certaines villes ont cherché le vrai sens des mots et ont mis en pratique de vraies alternatives aux pesticides. Il ne s'agit pas d'une lutte écologique menée par des écolos mais plutôt de la bonne vieille guerre entre réalité et ignorance, entre possibilité et propagande et plus importante entre progrès et une culture du silence.








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